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Le projet

Depuis 2024, Verso Energy développe un projet agrivoltaïque situé sur la commune de Castelnau-Montratier avec M. Benoît Laporte, au lieu-dit Malemousque. En collaboration étroite avec l’agriculteur et les acteurs du territoire, l’objectif est de concevoir un projet cohérent et porteur de sens.

11,5 à 20,2 GWh/an

(Gigawattheure par an)
de production prévisionnelle d’énergie.

8 à 14 MWc

(Mégawatt-crête)
de puissance prévisionnelle.

2025

Un dépôt de demande d’autorisation prévu au cours de l’année.

LA ZONE D'ÉTUDE DU PROJET

Le projet est étudié sur l’exploitation agricole de Benoît Laporte, située au lieu-dit Malemousque, au nord-est de la commune de Castelnau-Montratier.

Composée de pâturages pour bovins et de grandes cultures, l’exploitation conservera son activité agricole dans son intégralité.

Le projet est conçu en étroite collaboration avec l’agriculteur afin de s’adapter à ses pratiques existantes, sans modification de son mode de travail.

Le calendrier du projet

Zoom sur... les études de faisabilité

Dans le but de concevoir un projet adapté aux spécificités locales tout en garantissant la viabilité économique de l’exploitation, plusieurs études sont actuellement menées sur la zone ci-contre :


  • Des inventaires environnementaux (faune, flore, habitats, zones humides) ;

  • Une analyse du site (milieu physique, milieu humain, milieu naturel, paysage et patrimoine) ;

  • Des études de sol ;

  • Une étude préalable agricole qui analyse la conception du projet en concertation avec l’exploitant, l’étude de l’impact du projet sur l’économie agricole du territoire et la proposition de mesures d’évitement, de réduction et de compensation collective des impacts ;

  • Une évaluation des contraintes de raccordement au poste.

L’étude d’impact et la séquence ERC : 

Pour donner suite aux résultats des études préalables, une étude d’impact est réalisée. Elle apprécie les conséquences d’un projet sur une zone d’implantation potentielle. Alors que les études préalables étudient la zone avant que le projet ne soit réalisé, l’étude d’impact anticipe les implications réelles du projet solaire sur cette même zone. Le bureau d’étude qui est chargé de sa rédaction formule des recommandations pour éviter, réduire et compenser les impacts potentiels : cette séquence est appelée ERC et est inscrite dans le code de l’Environnement.

Ces recommandations peuvent être de plusieurs natures : modification de l’implantation, conservation de boisements, plantation de haies végétales, modification du degré d’inclinaison des panneaux, mesures anti-espèces envahissantes, etc.

Cadre réglementaire :

Le dépôt du projet en préfecture

 

Une fois l’ensemble des études finalisées, le projet est déposé en Préfecture. Il est instruit par les services de l’État.

 

L’enquête publique

 

Pendant l’instruction, l’autorité organisatrice demande au président du tribunal administratif de désigner un commissaire-enquêteur chargé de l’enquête publique. Cette étape correspond à la concertation « officielle » du projet : elle vise à recueillir les avis et observations des communes et de leurs habitants dans le périmètre de l’enquête publique, sur la base du dossier qui est accessible dans les mairies. À l’issue de cette période, le commissaire-enquêteur rédige un rapport et rend un avis au Préfet.

Sur l’avis de différentes instances, c’est le Préfet qui délivre l’autorisation de permis construire du parc agrivoltaïque.

La construction :

Lorsque le permis de construire est délivré, les travaux d’aménagement du parc pourront commencer : ils durent en moyenne entre 8 mois et 1 an, mais ce délai peut varier d’un projet à l’autre (selon sa taille, les difficultés rencontrées, etc.). Pendant cette période, des équipes dédiées aménageront les différents accès, enfouiront les câbles, monteront les structures et s’occuperont du raccordement au réseau.

Le chantier terminé, le parc agrivoltaïque est mis en service !

La fin de vie d’un parc agrivoltaïque :

Démantèlement : 

 

La durée de vie d’un parc agrivoltaïque est en moyenne de 30 ans. Une fois son démantèlement acté, et si le parc n’est pas renouvelé, le site est restitué à son état initial. Les modules et les structures en aluminium sont évacués et les postes électriques sont déconstruits. Des travaux de restauration sont également menés pour que la parcelle retrouve son état d’avant-projet.

 

Recyclage : 

 

La collecte et le recyclage des panneaux photovoltaïques font l’objet d’une obligation réglementaire depuis 2002. Ils sont encadrés par la directive européenne sur les déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE).